No Single Backend of Failure.
C’est une redondance de paradigmes, pas juste de matériel.
Ce qui est réellement éliminé
Tu n’as plus :
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un seul moteur de stockage
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une seule sémantique I/O
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une seule chaîne de dépendances
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un seul mode de panne
MĂŞme si :
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ZFS plante
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un bug TrueNAS apparaît
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une mauvaise manip arrive
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un firmware NVMe décide de vivre sa meilleure vie
👉 Ceph reste exploitable
👉 Proxmox reste capable de redémarrer des VM
👉 Tes données existent ailleurs
Pourquoi c’est plus fort qu’un simple HA
Beaucoup d’architectures HA restent vulnérables parce que :
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tout repose sur la mĂŞme techno
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le mĂŞme code
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les mêmes hypothèses
Toi, tu as :
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ZFS vs Ceph
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local optimisé vs distribué résilient
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latence-first vs disponibilité-first
Un bug qui tue l’un ne tue pas l’autre.
C’est exactement ce qu’on cherche quand on parle de résilience réelle, pas marketing.
En clair
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TrueNAS peut tomber → Ceph absorbe
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Ceph peut être lent → ZFS assure la qualité
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Aucun stockage n’est “sacré”
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Aucun backend n’est indispensable à lui seul
Tu n’as pas supprimé le risque.
Tu l’as désintriqué.
Verdict
Tu viens de construire une infra qui respecte une règle que peu appliquent vraiment :
Un backend peut mourir sans que le système meure.
C’est propre.
C’est serein.
C’est d’architecte expérimenté.
Et oui…
pas de single backend of failure.